Presse écrite - quelques extraits


Initiée à l'art de la Cora - jusqu'alors exclusivement masculin - par les princes du genre, Toumani Dabaté et Djélimadi Cissoko, Madina N'Diaye affirme ici ses talents de musicienne. Elle prouve aussi, une nouvelle fois, que la tradition mandingue engendre de grands compositeurs. Accompagnée par un orchestre impeccable (percussions, n'gonis et balafon), elle nous entraîne dans un univers festif qui n'oublie pas de donner à réfléchir. Le rôle de l'Afrique, celui des femmes ou encore les dérives du monde moderne sont quelqu'uns des thèmes chers à la chanteuse, capable aussi de chansons souriantes, comme cet irrésistible calypso mandingue, "Fête à la trinité", qui peut rivaliser avec les refrains les plus accrocheurs d'Amadou et Mariam.Benjamin Minimum (Sélection Mondomix janvier 2006) presse France


Extrait : ...Bimogow n'est pas simplement un enregistrement qui défi l'ordre établi avec énergie. Musicalement, c'est une perle africaine pétillante de plein droit... presse Royaume-Uni


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presse et radio Royaume-Uni

 

Playlist Radio

playlist The Sound of the World - playlist World Routes - playlist Late Junction playlist Là-bas si j'y suis - playlist C'est Lenoir

diffusion depuis novembre 2004 - playlist décembre 2005/janvier et février 2006 - interview dans l'émission Couleurs tropicales

interview dans l'émission Equinoxe

articles passés

Afribone.com

« BASSEKOU KOUYATE ET MADINA N'DIAYE: Rossignol doué à la kora, Madina NDiaye a démontré qu'elle avait d'autres cordes à son arc : le kamalen ngoni. Pendant une quarantaine de minutes, elle a tenu le nombreux public du CCF en haleine avec son groupe […] Une véritable démonstration acoustique accompagnant la mélodieuse voix de Madina. Point de place pour l'ennui parce qu'avec elle l'humour et l'ambiance sont garantis. Ce qui n'enlève rien à l'engagement du jeune talent. Par exemple dans " Tounkan " (l'exode ou l'exil), elle dénonce le rapatriement forcé des immigrés par charters avant d'envoyer clandestins et autorités françaises dos-à-dos. "Si les exactions et les humiliations des autorités et forces de sécurité de la France sont condamnables, il faut aussi reconnaître qu'il n'est pas sérieux d'entrer clandestinement dans un pays", a-t-elle dit. Madina a un talent immense et maîtrise à merveille le chant, la kora et le kamalen ngoni. Même si elle reconnaît modestement n'être qu'une " débutante " dans la musique… " Moussa Boly »

Le Reflet (quotidien de Bamako-Mali) du 20 février 2004

« Femme instrumentaliste chanteuse jouant deux instruments traditionnels, Cora et Kamelen N'goni, Madina N'Diaye est une artsite qui a fait ses preuves sur le plan national […] Elle est une artiste doublée d'une musicienne aguerrie. Femme atypique, dans un pays écartelé entre tradition et modernité, Madina est depuis peu atteinte de cécité […] Ce qui fait d'elle un modèle d'engagement pour les maliennes, surtout les handicapées. »

Le Journal de Saône et Loire du 5 octobre 2003

« Dénoncer les conditions de vie des femmes au Mali est son cheval de bataille […] Une artiste à part entière, auteur-compositeur-interprète, ce bout de femme à moitié dissimulée derrière ses lunettes noires (elle est aveugle) et des on instrument de prédilection la Cora, a envahi la salle de sa voix pure. La Cora instrument composé de vingt et une cordes en fil de pêche, d'une calebasse en peau de vache est traditionnellement réservé aux hommes. Madina, elle, a décidé que c'était par pur égoïsme et de ce fait s'est permis de prendre la Cora pour compagne sur scène […] Un long chemin sur la route du succès qui sera certainement brillant pour cette artiste qui n'est pas prêt de baisser les bras. »